Personne n'y croyait, et pourtant il était là. Personne n'avait même imaginé qu'ils le reverrait un jour et pourtant il se trouvait devant eux.
Il était arrivé d'on se sais où comme à son habitude, sans prévenir comme il le faisait toujours, et avec la bite rude...euh
OUAI J'AI ENCORE LA GAULE MATINALE, CA DERENGE QUELQU'UN ?
Toi à l'accueil arrête de te faire des films, t'a le froque trempé cochone.
ALLEZ TOUT LE MONDE A SON POST !!!! L'Amiral est de retour dans la place aux rp, l'ambassade rouvre ses portes même si c'est juste pour que les ealges viennent y foutre leur boxon.
Ils restèrent tous, là, bouge B, ne sachant que faire, après tout ils avaient suivie les mesures de sécurité qui s'imposait en cas d'abscence d'ealge : ILS ONT GLANDE COMME DES SALAUDS A RIEN FOUTRE PENDANT TOUT CE TEMPS !!
Bon vous le bougez votre cul ? Toi là bas, qu'on m'amène une équipe de reconstruction d'urgence, avec nanite et tout le batatrinque. Je veux que l'école soient reconstruite ILICO que le colonel puisse attérire et que le captain ai envie de revenir.
Je veux une équipe qui aille me choper en urgence de quoi reremplir un minimum la cave du bar, ET JE VEUX PUTAIN QUE QQUN ME FASSE LE MENAGE ICI BORDELLLE !!! C'EST QUOI LE PLAISIR DE DEGUELASSER UN TRUC QUI EST DEJA SALE CONNARD !!!!
Sur ces mots ils se remirent tous au boulot. Tous ? non. Il restait là un petit groupe rebelle. L'amiral s'empressa d'aller voir.
Yo, was morch ? Vous foutez quoi là ?
Un petit homme sortie du groupe, il se présentait comme le lideur de ce mouvement de résistance. Il déclara qu'ils refuseraient de bosser, considérant que la glande leur allait mieux.
Un sourir grandissant apparue alors sur le visage de l'Amiral qui ressemblait de plus en plus à un vrai psycopate, un fou, un homme pris de délire. Un homme ai-je dis ? non il ne ressemblait même plus à ça. Il était devenu un monstre avec un ricanement à vous faire trembler.
Le petit groupe commençais à se séparer, un par un courant pour fuire ce que j'amais il n'aurai imaginé.
L'Amiral s'écria alors :
AHAHAHAHAH ! Courrir ne vous sauvera pas la vie. AHAHAHAHAHAH.
C'est alors que l'on vie l'Amiral sortir de sa poche un petit objet rectangulaire duquel l'Amiral tira une petite antenne. La pointant alors sur les fuyard il appuya sur le tout petit bouton se trouvant dessus.
AHAHAHAHAHAH. Rentrez tous dans vos chomière, ça vas chier dehors ce soir. Et vous qui ne m'obéissez, crevez !
Le sourir de l'Amiral était plus horrible que jamais, et c'est alors que s'abatu une pluie de sondes. Elles tombaient par dixaine, par centaines même, ça explosait de partout sur le sol. On en vie même quelques unes s'abatre sur l'Amiral.
Quelque minutes plus tard, lorsque les explosions s'arrêtèrent, on vie sortir de la fumée un Amiral calmé, il avait même débandé.
Il retourna alors à son bureau tranquilement, tout le monde baissant la tête à son passage.
L'Amiral était bien rentré, plus en forme que jamais. Il dit une dernière chose en s'approchant de la porte son bureau :
Bon j'espère que les autres vont pas tarder parce que je pense qu'on va bien s'amuser ici. ET QU'ON ME DEPECHE UNE EQUIPE DE RECONSTRUCTION, Y DES DEGATS LA DEHORS !!!